Michel Le Quéré

 Les articles de mon blog sont illustrés par des morceaux de musique. Je ne considère pas comme secondaires ces illustrations sonores, mais vous pouvez très bien lire les infos de cet article sans musique. C'est vous qui décidez.

"Tout art implique que l'on soit deux. L'un qui le crée, l'autre qui en a besoin."

Ernst Barlach

 OUVERT   tous les jours du 14 juillet au 15 août de 15h à 19h

                   sur rendez-vous du 29 juin au 13 juillet et du 16 août au 2 septembre

                   04 71 08 88 61  ou  06 28 20 64 23

ATTENTION ! ça c'était avant l'épidémie de coronavirus

atelier michel le quéré sculpture galerie et jardin de sculptures fermés

pas d'exposition été 2022

Domicile et Atelier :

5 Rue de la Fontaine

43700 Arsac-en-Velay

04 71 08 88 61

06 28 20 64 23

michel.le-quere@orange.fr

Jardin de Sculptures et Salle d'Exposition Espace Marie Bertrand

entrée Place du Reinage 

atelier michel le quéré sculpture

fusiosculpture

30 Essais sur l'Education

oeuvres et triptyques récents

prêt d'oeuvres pour l'Education aux Droits de l'Homme

projets d'oeuvres plus ou moins monumentales pour l'espace urbain

créations originales d'inspiration médiévale

 Matériaux utilisés : bois et pierre mais aussi bronze, acier, résine, papier collé ...

 " La patte de Michel Le Quéré est d'une sensualité extrême.

Son amour du bois et de la pierre est omniprésent dans ses sculptures,

polies par sa passion telles des galets des rivières par l'eau des montagnes. "

Régis Morvan

La chanson "Le temps des cerises" est étroitement liée à l'Histoire de la Commune de Paris. Cette chanson d'amour a été composée par Jean-Baptiste Clément cinq ans avant les tragiques événements du printemps 1871. Ecrite en 1866, dans une auberge de l’Oise, alors qu’il partait pour la Belgique, la chanson s’inscrit dans un genre très français renouvelé de siècle en siècle : la romance exprimant en termes poétiques un chagrin d’amour. « Le temps des cerises » est une jolie et mélancolique chanson d’amour qui connut en son temps un réel succès et qui demeure d’ailleurs, un siècle et demi plus tard, la seule composition qui ait échappé à l’oubli d’un auteur par ailleurs assez prolixe.

Jean-Baptiste Clément avait pourtant bien tiré de son expérience de Communard une autre chanson, réellement engagée, celle-là : "la semaine sanglante". Mais la postérité a préféré conserver le souvenir d'une chanson populaire.